Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie


La Direction générale de la prévention des risques, du ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie conduit une politique de prévention des risques naturels qui porte notamment sur les risques de tsunamis.

La Direction générale de la prévention des risques, du ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie conduit une politique de prévention des risques naturels qui porte notamment sur les risques de tsunamis. Elle est ainsi chargée de la prévention des risques naturels et de la gestion de tous les risques hydrauliques afin de faciliter une approche intégrée des risques d’inondation, réunissant les services compétents en matière d’alerte météorologique, de prévention des crues et de sécurité des installations hydrauliques.

L’objectif de la politique nationale de gestion des risques naturels est de :

  • réduire la vulnérabilité des territoires, des personnes et des biens (c’est à dire réduire les dommages potentiels) aux aléas naturels qui sont eux inévitables : il s'agit d'une politique d’adaptation,
  • et aussi d’augmenter la résilience de notre société face à ces mêmes aléas, c’est à dire permettre un retour rapide à des conditions de fonctionnement acceptables de la société et de l’économie.

La mise en sécurité des personnes et des biens se déploie  à travers un dispositif réglementaire qui mobilise, selon axes d'intervention, les outils de la prévention qui concourent tous à cet impératif de préservation des vies humaines avec notamment :

  • la connaissance des phénomènes et du risque,
  • le suivi et la surveillance des aléas,
  • l' information préventive,
  • la préparation à la gestion de crise...

Pour les tsunamis, ont été entreprises, dans l'ensemble des bassins océanographiques, des actions de connaissance, d'information et de mise en oeuvre de système d'alerte auxquelles le ministère apporte sa contribution. C'est ainsi que sur le bassin méditerranéen occidental dans le cadre du GIC SATANEM, le MEDDE a contribué avec le ministère de l'Intérieur à la création d'un centre d'alerte tsunami.